1789 Canton de Monflanquin en Lot et Garonne
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1789
l'Espace administratif
de Monflanquin
 
 
La création des districts et cantons puis des communes a symbolisé pendant la Révolution de 1789 une des ruptures avec l'Ancien Régime. Dans quelle optique, suivant quelles modalités, et jusqu'à quelle profondeur les Constituants menèrent-ils cette rupture ? Autant de questions que l'on peut se poser à propos de Monflanquin.. .
 
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I.- DE LA SENECHAUSSEE AU DEPARTEMENT :
 
Réclamée à plusieurs reprises au cours du XVIII° siècle, placée au rang des priorités durant l'été 1789, la question de la réorganisation administrative de la France est soulevée le 7 Septembre par l'abbé SIEYES qui suggère la création d'un comité pour l'étude d’un "plan de municipalités et de provinces..." puisque le découpage du royaume de façon harmonieuse est la condition de l'avènement du régime politique idéal, uniforme en même temps qu'éclairé, auquel chacun aspire.
 
C'est dans cette optique d'un quadrillage harmonieux, géométrique, indifférent à tout héritage du passé que le 29 Septembre le député THOURET présente le projet du Comité de Constitution à l'Assemblée Nationale : la France découpée en départements de 18 lieues sur 18, divisés en 9 districts de 6 lieues sur 6, divisés eux-mêmes en 9 cantons de 2 lieues sur 2.
 
Mais cette impulsion donnée d'en haut et animée d'une vision universaliste va être pondérée par la procédure qui confie l'exécution aux députés de provinces et à des commissaires nommés : St AMANS, FUMEL de MONSEGUR, CESSAC d'Agen. Méthode qui ouvre largement la voie à l'opinion provinciale et locale.
 
Ainsi tandis que les députés examinent les différents projets, DE BOURRAN député de l'Agenais pour la noblesse demande par lettre leurs observations aux membres du Bureau de Correspondance d'Agen.
 
Et, de suite, la revendication du nouveau découpage territorial est étroitement liée à la représentation d'un pouvoir urbain et de ce fait à la sollicitation d'Agen comme chef-lieu.
 
Condom, La Réole, Tonneins, Bazas font la même demande et d'âpres négociations s'engagent entre les diverses députations de la Guyenne qui, après avoir éliminé l'idée d'un département intermédiaire entre Bordeaux et Agen, tombent d'accord le 20 Janvier 1790 sur la division de la Basse Guyenne en quatre départements.
 
Reste à fixer le chef-lieu du département n°61. Aussitôt des tensions réapparaissent entre Nérac, Casteljaloux, Villeneuve, Agen; d'où la solution moyenne retenue qui veut que lors de la première session de l'Assemblée du département se tiendrait à Agen et qu'ensuite on alternerait dans les villes qui seraient susceptibles d'accueillir cette Assemblée. La première réunion eût lieu à Agen... les suivantes aussi.
 
Tous ces problèmes réglés, le procès-verbal de la création du département est adopté à la suite de la séance du 8 Février; il est daté du 9 Février 1790.
 
Pour le nom à donner, après être partes d'une numérotation, très distanciée par rapport à l'héritage historico-géographique,"Département n° 61" puis "département n° 63" les constituants un instant en viennent au contraire à parler du "département de l'Agenais".Évitant finalement l'abstraction numérique et à l'opposé le rappel insistant du cadre historique, le choix se fait entre Département de la. Garonne ou du Lot et Garonne, et la patente du 4 Mars 1790 annonce la création du "Département du Lot et Garonne".
 
 
L'habitant de Monflanquin, en fait, se trouve, pour tout ce qui est du Haut Agenais où il vit, avec des limites sans changement notable entre l'ancienne Sénéchaussée d'Agen et le nouveau département du Lot et Garonne; bien plus le centre administratif de cet ensemble reste Agen. Dans la mesure où l'organisation de l'espace est synonyme de pouvoir, la relation de l'habitant de Monflanquin avec ce pouvoir Agenais ne subit pas à la Révolution de transformation profonde.
 
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 II.- DE LA SUBDELEGATION AU DISTRICT.
 
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Le même décret du 9 Février 1790 détermine les districts du département et là aussi les avis avaient différé.
 
Une Lettre du 20 janvier 1790 est très explicite à cet égard : "Nous Députés de l'Agenais, assemblés en nombre le plus considérable que nous ayons pu, sommes convenus que pour lever la difficulté qui s'élève dans notre département, savoir de quatre districts seulement que l'on proposait, vu qu'ils seraient trop éloignés... sommes convenus de faire une nouvelle distribution des dits établissements plus conformes à la population pour être remis au bureau de Constitution: Agen, Nérac, Marmande, Tonneins, Villeneuve, Lauzun, Montflanquin [sic], Tournon, Valence." ( AA/L 205 )
 
Après de longues discussions, le 24 Janvier, la minorité favorable avec le marquis de BOURRAN aux 4 districts s'incline face à la proposition des partisans avec le député du Tiers Etat RENAUD des 9 districts; à cela près que Casteljaloux va remplacer Tournon initialement proposé.
 
A l'exception de Tonneins, les chefs lieux choisis pour les districts sont des villes où étaient établies des subdélégations. Le choix ne fait donc que consacrer une situation préexistante. Le vocabulaire peut changer, les habitants de l'Agenais n'en conservent pas moins l'habitude de se rendre pour traiter leurs affaires, aux chefs lieux des anciennes subdélégations. ( RA 1955 p.I60 )
 
En effet, l'édit du 15 Avril 1704 avait créé et érigé "en titre d'office formé et héréditaire en chacun chef lieu des élections" des charges de subdélégués dont les fonctions quoique imprécises en faisaient des agents d'information pour l'Intendant. En outre, ils affichaient les ordonnances du Conseil et les arrêtés de l'Intendant et devaient assurer leur exécution; ils pratiquaient également l'instruction des affaires de justice et parfois criminelles; ils étaient responsables de la police en liaison avec les officiers municipaux;enfin ils vérifiaient les rôles d'imposition et les finances des communautés. ( Hoare p.23 ).
 
Dès 1715, la monarchie avait supprimé les offices mais les subdélégués avaient été maintenus; leur fonction, en fait, se transmettait souvent dans la même famille, généralement sous la forme de lettres de provisions de subdélégué adjoint lorsque 1e titulaire était trop âgé pour remplir sa fonction : à Monflanquin le sieur LEROU fils est nommé subdélégué adjoint en 1774 peu avant la disparition de son père ( RA 1947 Desgraves p,II7 ).
 
Ces subdélégations se sont mises progressivement en place : en 1714 la subdélégation de Villeneuve est instituée mais considérée trop importante 22 juridictions en sont détachées en Octobre 1753 pour former la subdélégation de Monflanquin. Encore trop vaste pour un seul administrateur par suite des difficultés de communications avec Monflanquin cette nouvelle subdélégation subit elle aussi un démembrement en 1774 à la suite du décès du subdélégué LEROU père; c'est ainsi qu'apparaît la subdélégation de Castillonnès . ( Hoare p.4 )
 
A la veille de la révolution, cette amputation de la subdélégation de Monflanquin laisse des traces avec les deux enclaves que sont à l’Ouest Monviel (I paroisse), Le Moulinet (4 paroisses) et au Nord Le Rayet (3 paroisses), la subdélégation de Monflanquin comprenant en outre les juridictions de Monflanquin (22 paroisses), Blanquefort (4 paroisses), Born (7 paroisses), Boynet (4 paroisses), Castelnau (I paroisse), Condezaygues (I paroisse), Gavaudun (3 paroisses), La Capelle Biron (I paroisse), Monségur (2 paroisses), Paulhiac (5paroisses), Rouets (I paroisse), St Avit (I paroisse), Sauveterre (I paroisse); soit un total de 16 juridictions et 61 paroisses.(Atlas Burias et Tholin).
 
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La juxtaposition des cartes de la subdélégation d'avant 1789 et du district d'après 1789 montre 1a volonté des constituants de rationaliser l'espace sans pour autant faire table rase.
 
A l'Ouest Monviel et le Moulinet, avec qui existait un hiatus, disparaissent de l'horizon monflanquinois alors que Cancon s'y installe. Au Nord par contre Le Rayet est conservé mais arrimé à l'ensemble par Villeréal qui sert de trait d'union.
 
Vers l'Est s'opère une extension sensible prenant comme axe La Lémance depuis Sauveterre jusqu'à Fumel. Le district comprend dès lors l’équivalent de 86 paroisses. C'est dire si Monflanquin conforte sa position et si la Révolution n'a en rien perturbé l'aire administrative qui est la sienne.
 
 
Aménagement territorial qui ne va pas toutefois sans réactions soit contre le choix de Monflanquin comme chef lieu du district soit pour proposer des modifications à l'intérieur même du district.
 
C'est Castillonnès qui, le 9 Avril 1790, demande d'être, avec Tournon, préféré à Lauzun et Monflanquin comme chefs lieux de district.
 
Attaque à laquelle répondent, le 26 Juin, les monflanquinois avec force : "Monflanquin réunit tous les avantages que peut exiger l'établissement d'un district, sa position est brillante, sa ville quoique petite est plus que suffisante, très fréquentée, commerçante, assez bien bâtie, nombre de bonnes auberges, ses habitants toujours respectueusement soumis aux décrets de l'Assemblée nationale, vivant dans la meilleure intelligence, ayant fait son assemblée avec la tranquillité et l'ordre prescrits, ses élections avec connaissance, fait preuve de son patriotisme par une contribution considérable et son zèle pour là tranquillité publique en se portant sur les brigands qui infestaient son territoire..." (AA/L 691 p.1)
 
Vu de Paris l'agencement interne du district pose lui-même des problèmes. Le marquis de Fumel Monségur, le 14 Mars 1790, informe Monflanquin que le district n'aura que 8 cantons au lieu des 9 prévus
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 C'est également de Paris une lettre, dans laquelle  "nous députés du département d'Agenais réunis, reconnaissons avec vérité que la plus grande convenance et le plus parfait arrondissement la paroisse de La Dignac aurait du être du district de Monflanquin et. du canton de Monségur... ce qui pourra être demandé après". (AA/E 3509).                                          
  
Sur place, Born, St Viviens, St Just, St Amant, St Eutrope, Lugagnac, Barbas, Montaud, Bournel, Villas viennent en délégation à Monflanquin pour que "le chef lieu de canton et de la Municipalité de Born soit irrévocablement à St Eutrope." … "considérant que l'église de St Eutrope est plus grande pour accueillir" les assemblées. (AA/L 678 p.41 et 181).
 
A Villeréal, inquiète, les responsables de Monflanquin répondent: "Nous craignons comme vous que les paroisses de St Sabine et St Sernin ne vous restent point. Nous avons écrit il y a déjà longtemps aux commissaires de Dordogne"... en vain. (AA/L 203 f.I23)
 
Au curé de Barbas "Nous sommes bien fâchés que les habitants de Taradel se trouvent lésés"... d'être dans le canton de Cancon .... " Il faut attendre jusqu’à ce que l'Assemblée administrative du département soit formée, ils pourront alors réclamer "... .(AA/L 203f.39)
 
Mais c’est surtout Fumel qui est au centre des récriminations, cas typique des discussions du moment. Monsempron et Monségur s'efforcent d'obtenir à leur profit la suppression du canton de Fumel qui se plaint de son côté des intrigues de Bonaguil, Cuzorn et Condezaigues lesquels demandent à glisser sur d'autres cantons limitrophes. Les délégations des uns et des autres se déplacent auprès du directoire du département qui renvoie au district de Monflanquin... C'est la confusion la plus totale, mais qui trouvera solution l'année suivante. (RA 1956 p 22).
 
Car toutes les demandes restent en attente dans la mesure où à la mi-Avril 1790 l'Assemblée nationale a pris la précaution de décréter que "les démarcations déjà fixées ne pourraient souffrir aucun changement jusqu'à ce que les assemblées administratives soient organisées". Fort de cette disposition, les commissaires au niveau départemental peuvent conseiller de faire connaître les différents points de vue afin qu'ils soient étudiés plus tard et le district de Monflanquin refuser toute modification.
 
Au total, Monflanquin est passé de la subdélégation au district sans trop de difficultés et, malgré le handicap que représente le réseau routier déficient pour répondre aux besoins d'un chef lieu dont les administrés sont éloigné ®, ne peut que se réjouir de la consolidation et voir même l'extension de son rayon d'action sur le plan administratif... jusqu'en 1796 tout au moins où les districts disparaissent, dépouillant du coup Monflanquin de ce grand ensemble administratif pour ne lui laisser que le canton. (AA/E 3509). 
                                                                                                                                                            
II.- DE LA JURIDICTION AU CANTON.
 
A la fin de la monarchie, l’unité administrative et judiciaire inférieure est la juridiction royale ou seigneuriale. Avec la Révolution, l'unité administrative et judiciaire inférieure devient le canton
 
Le canton de Monflanquin en ce qui le concerne, à part quelques réclamations somme toute assez limitées, approuve assez rapidement sa délimitation. Pourtant comparativement à la juridiction préexistante il y a une perte sensible :
 
A l'Ouest Cailladelle, St Sulpice,, St Paul, Boudy au profit de Cancon, au Nord-ouest Villar pour le canton de Born, au Sud Lamothe Fey au profit de Villeneuve et enfin au Sud-est Lacaussade, Savignac, St Aubin, St Perdoux pour constituer le canton de Monségur.
 
L'acceptation vient de ce que Monflanquin, à cet instant, trouve d'une part une compensation notable avec son rôle de chef lieu de district et que d'autre part le rééquilibrage entre les anciennes juridictions - les unes ayant trente paroisses tandis que les autres en avaient une seule - était dans les préoccupations du moment.
 
Dans sa lettre du .23 Mars 1790 le marquis Fumel Monségur depuis Paris insiste en fait pour que Monflanquin accepte ce rééquilibrage:
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Sur place les responsables du district de Monflanquin enregistrent, sans donner suite, les doléances des uns et des autres: Lacaussade limitrophe et plus proche de Monflanquin que de Monségur demande à glisser dans le canton du premier, ne serait-ce que pour conserver " ses relations d'habitudes ". Même demande de Lamothe-Fey eu égard à un passé commun. (AA/L 676).
 
Constitué comme il l'est, en 1790, le canton comprend 10 paroisses : Monflanquin, St Caprais, St Hilaire, Tayrac, Roquefère, Calviac, Labarthe, Corconac, Crouzillac, et la Sauvetat sur Lède.
 
En séance du 28 Décembre 1797, l'administration centrale du département de Lot et Garonne "considérant que les raisons de localité sont d'offrir à un concours successif d'individus les moyens de faire décider les affaires auxquelles les relations habituelles et commerciales peuvent donner lieu, sans placer les fonctionnaires publics à des distances trop éloignées des chefs lieue' de leur administration" et que précédemment  "il a pu, il a du se glisser des imperfections, des erreurs même qu'il est dans son intention de reconnaître et de corriger"... décide de revoir son oeuvre.
 
C'est dans le cadre de ce réajustement, après un laps de temps très court d'essai entre 1790 et 1797, que les acteurs de la Révolution bâtissent la commune de Monflanquin qui prend approximativement la surface du canton modèle 1790, tandis que le canton lui-même s'accroît de Lacaussade, Savignac, Montagnac, Paulhiac, Laussou, St Eutrope et Ails.
 
Or il est intéressant de noter que ce réajustement du canton en 1797 restaure en partie la juridiction de 1789, elle même reflet dans ses grandes lignes de la Baylie décidée en 1259 par Alphonse de Poitiers.
 
Ainsi une décision au XIII° - de créer ex nihilo une entité administrative équidistante du Tolzac, de la Lémance, du Dropt et du Lot - s'impose au XVIII° pour se perpétuer jusqu'au XX°, que ce soit sous le nom de Baylie en 1259, de juridiction Royale en 1572, de Canton en 1797.
 
Choix initial judicieux ou pesanteur du passé, quoiqu'il en soit 9 paroisses depuis l'origine forment l'ossature de cet ensemble : Monflanquin, St André, St Avit, Roquefère, Tayrac, St Hilaire, Calviac, Corconnac, St Sernin de Labarthe. paroisses auxquelles viennent s'agréger pendant de longues périodes St Aubin,  Lacaussade, St Perdoux, Savignac,   St Caprais. A ces deux séries de paroisses s'ajoute une troisième catégorie composée de paroisses qui sont venues s'intégrer par intermittence : Laussou, Monségur, Montagnac, Gavaudun. En tout dix huit paroisses liées dans une histoire de longue durée, encore vécue de nos jours..
 
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En matière d'espace administratif l'action de la Révolution s'est produite à trois niveaux.
 
Au niveau supérieur, dans la mesure où le département intègre la sénéchaussée d'Agen, ville qui au demeurant reste le centre de l'espace concerné, Monflanquin dans son Haut Agenais reste dans une position inchangée à l'intérieur de l'aire apparue dès 1207.
 
Au niveau intermédiaire, le district de Monflanquin prend la. place de la subdélégation. La Révolution conforte donc un court moment une entité créée en 1753 avant que la supprimer en 1796. I1 y a, 1à, rupture dans un temps historique de moyenne durée.
 
Au niveau inférieur, le canton, après un court moment d'atrophie entre 1790 et 1797, retrouve dans ses grandes lignes la dimension de la juridiction et, par delà, de la Baylie initiale. Une continuité s'est donc instaurée de 1259 à nos jours sans que la Révolution ne l'ait rompue.
 
Au total, pour ce qui est de l'espace administratif de Monflanquin, la Révolution apparaît comme une césure au plan de l'Histoire de moyenne durée. Par contre elle n'apporte pas de rupture profonde au plan de l'histoire de longue durée, et le canton de Monflanquin 1989 se révèle l'héritier d'espaces qui se profilent en 1207/1259.
                                                                                                                                                                                                                                                                                     Odo Georges
                                                                                     Sous les Arcades n° 278 /278
                                                                                                                 - 1988                          
 
BIBLI0GRAPHIE :
 
- Annales ESC. Ivov.Léc.I9bb:"Stratègies Spatiales" par OZOUF - MARIGNIER p.II93 à 1213. .
 
- AA Archives Agen - suivi du n° répertorié.
 
- RA Revue de l'Agenais - suivi de l'année et de la page.
 
- HOARE " La subdélégation de Castillonnès " 1980
 
- DE BELLECOMBE " Aide Mémoire de l'Agenais 1899
 
- BURIAS "Atlas Historique Français :Agenais"
 
- BELLEYME "Carte de la Guyenne" n& 36 - XVIII Siècle.
 
 
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